Une âme perdue, érrante [Libre]

L'aube, la lune fait place au grand soleil qui réchauffe lentement l'atmosphère de ses rayons. Un matin plutot frais quiprendra surement pas mal de tenmps à prendre une température agréable. Une masse de mucles au pelage sombre tel les ténêbres, venait de sortir lentement d'une tannière, s'étirant pendant quelques pas, baillant, formant un petit nuage blanc autour de son museau. Son oeil droit noir à moitié fermé laisser refletter les doux rayons du matin, son pelage luisait d'une façon apaisante, ou aurait presque put prendre cette grande louve pour une âme gentille qui ne veux que se rendre sociable par sa beauté. Ce n'est pas le cas, le caractère de l'animal était tout le contraire, bien que parfois, elle éssaye de ce montrer plus amical, mais se sont des exeptions très rares et dont il faut être fier et honnoré si cela vous arrive.
S'assayant doucement sur un rocher devant sa taverne, la louve noire du nom de Atami, observait lentement le soleil se lever, un aigle volait dans le ciel orangé et peu rosâtre, elle le fixait en se disant qu'il était libre et n'avait rien à prouver ni à regretter.
Plus tard, Atami repensait à sa rencontre avec le bêta de la meute: "Je croyais qu'il y avait une âme dans ce corps vide, mais je me suis lourdement trompé"
Cette phrase lui torturait l'esprit, n'avait elle pas d'âme comme il le disait si bien, ou bien, en avait elle une qui ne voulait que mort et sang? La louve commencer à envier les loups normaux, leur facilité à s'approcher des autres pour leur parler, avoir des amis et pouvoir oublier le passé en le remplassant par de nouveaux souveinrs meilleurs. Atami n'en était capable. Elle préférait donc secouer la tête pour oublier ce momment, elle se relevait, lançait un coup de langue à son poitrail et son épaule gauche puis la louve s'éloignait de son repère, glissant de temps à autres sur des plaque de glace fine, recevant des gouttes d'eau tombant des branches des arbres presque nus par le froid de l'hiver.

Encore un doux matin qui se levait, songea Black en s'éveillant ce jour là.
A vrai dire, le loup noir ne comtpait plus le nombre de jours où il s'était réveillé avec cette petite pensée qui commençait trés franchement à l'énerver.

Mais ce n'était sûrement pas ça qui allait gâcher sa journée!
Aussi, quand le loup borgne fut étiré et suffisement réveillé, il sortit de sa grotte d'un pas léger. Il était rare de voir Black de bonne humeur, mais ce jour-ci, tout semblait aller pour le mieux.

Lorsqu'il fut dehors, le loup inspira profondément, comme si il respirait au grand air pour la premiére fois. Il paraissait moins bien vieux, vu sous cet angle "heureux". Son ample fourrure noire semblait bien moins sale et embrouillée qu'à son habittude. Certaines de ses cicatrices avaient disparues, mais il gardait éternellement son oeil crevé, lui même orné d'une superbe balafre, et un grand coup de griffes sur le museau, bien marqué par trois larges sillons encore bien saignants.

Mais ses blessures "de guerre", cela faisait longtemps qu'il n'y faisait plus attention.
Il avança encore un peu, déambulant au hasard dans les Terres d'Avana, jusqu'au moment où il arriva à proximité d'une louve à la foururre sombre, qui paraissait plongée dans ses pensées.

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